Exposition centrale

Manasie Akpaliapik

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Sculptées dans l’os de baleine, les œuvres de Manasie Akpaliapik épousent les formes organiques du matériau pour laisser apparaître des figurations complexes renvoyant aux interrelations du vivant.

Né en 1955 dans un camp de chasse du nord de l’Île de Baffin, Manasie Akpaliapik s’installe à Arctic Bay en 1967. Il apprend à sculpter dès l’âge de 10 ans. Depuis, ses œuvres sont entrées dans les collections du musée d’art de l’Université d’Oklahoma, de l’Art Gallery of Ontario, de la Mackenzie Art Gallery (Winnipeg), du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée canadien de l’histoire (Gatineau) et du Musée des confluences (Lyon). Après avoir vécu plusieurs années à Montréal à partir de 1980, il vit et travaille aujourd’hui à Toronto.

© Photo : Idra Labrie/MNBAQ.

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Patrick Bernatchez

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Aphélie 1 de Patrick Bernatchez est une installation postexpérimentale. Elle fait état de l’enregistrement quotidien d’un phénomène naturel : les variations lumineuses du Soleil.

Artiste autodidacte, Patrick Bernatchez, né en 1972, vit et travaille à Montréal. Ses œuvres ont fait l’objet de diverses expositions individuelles au Casino Luxembourg, au Musée d’art contemporain de Montréal, à la galerie The Power Plant (Toronto) et au centre Argos (Bruxelles). Il a pris part à des expositions collectives internationales comme Oh, Canada du Massachusetts Museum of Contemporary Art ainsi qu’aux rencontres internationales Paris/Berlin/Madrid. Finaliste du prix Sobey pour les arts (2010) et gagnant du prix Louis-Comtois (2015), il est représenté dans les collections du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec et de la Ville de Montréal.

© Patrick Bernatchez, Aphélie 1, 2016. Photo : Idra Labrie

 

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Christiane Baumgartner

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Issues d’un long processus de gravure sur bois, les estampes monumentales de Christiane Baumgartner The Wave et Phoenix confrontent les forces élémentaires de la nature.

Originaire de Leipzig en Allemagne, Christiane Baumgartner est née en 1967. Formée à l’Académie des beaux-arts de Leipzig, elle a obtenu en 1999 une maîtrise du Royal College of Art de Londres. Ses œuvres ont été vues à l’exposition EAST International (Norwich) et à l’Ikon Gallery (Birmingham). Elle a fait partie de l’exposition Eye on Europe du Museum of Modern Art (New York) en 2006. En 2014, elle a reçu le prix Mario Avati décerné par l’Académie des beaux-arts de France. Ses œuvres figurent dans plus de 30 collections publiques, dont celles du Musée Albertina (Vienne), du Museum of Modern Art (New York) et de la Bibliothèque nationale de France (Paris).

© Christiane Baumgartner, The Wave, 2017. Photo : Idra Labrie

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Shuvinai Ashoona

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Denses, minutieuses et d’un chromatisme éclatant, les compositions dessinées de Shuvinai Ashoona dressent un univers iconographique singulier combinant le quotidien et le mythe.

Shuvinai Ashoona est née en 1961. Elle amorce une pratique en dessin en 1993 et se joint à la collection annuelle d’estampes de Kinngait dès 1997. Depuis, son travail a été sélectionné pour la Biennale SITElines de Santa Fe, la 18e Biennale de Sydney et la Biennale canadienne (Ottawa). Ashoona est incluse dans la prestigieuse publication de Phaidon Vitamin D2: New Perspectives in Drawing (2013). Ses œuvres font partie des collections de l’Art Gallery of Ontario, de la Vancouver Art Gallery et du Musée des beaux-arts du Canada. Elle est représentée par la Feheley Fine Arts Gallery (Toronto).

© Photo : Idra Labrie/MNBAQ.

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Vija Celmins

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Qu’ils figurent des ciels étoilés ou des toiles d’araignées, les dessins hyperréalistes de Vija Celmins constituent des tentatives d’appréhender l’immensité de l’univers, un détail à la fois.

Née en 1938 à Riga, en Lituanie, Vija Celmins a reçu son baccalauréat du John Herron Art Institute d’Indianapolis) en 1962 et une maîtrise en beaux-arts de l’Université de Californie à Los Angeles en 1965. Depuis, des expositions individuelles de son travail ont été présentées au Palais de la Sécession (Vienne), au Tate Britain (Londres) et au Los Angeles County Museum of Art. Elle a également pris part à des expositions collectives à la Documenta 14 (Cassel) et au Museum of Modern Art (New York). Lauréate des prix Carnegie et du Roswitha Haftmann, Celmins habite et travaille à New York.

© Vija Celmins, Untitled (Large Night Sky), 2016

Daniel Corbeil

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Inspirée des sciences environnementales et de l’architecture utopique, La Cité laboratoire de Daniel Corbeil constitue un modèle inventif de solutions urbaines en préparation des bouleversements climatiques imminents.

Né à Val-d’Or en 1960, Daniel Corbeil est détenteur d’une maîtrise en arts visuels de l’Université du Québec à Montréal. Ses œuvres ont été diffusées à la Maison des arts de Laval, au centre AXENÉO7 (Gatineau), à la Galerie des arts visuels (Québec) et au Musée d’art contemporain des Laurentides (Saint-Jérôme). En plus d’avoir remporté le prix Graff en 2007, Corbeil est entré dans les collections du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée régional de Rimouski et du Musée des beaux-arts du Canada. Il vit et travaille à Montréal.

© Daniel Corbeil, La Cité laboratoire, 2012-2018. Photo : Idra Labrie

Michael Flomen

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Michael Flomen laisse agir les forces créatrices de la nature sur du papier photosensible lors de performances nocturnes sous le clair de lune.

Artiste autodidacte montréalais né en 1952, Michael Flomen pratique la photographie depuis la fin des années 1960. Il a participé à des expositions au Musée national des beaux-arts du Québec, au Musée d’art contemporain de Montréal, au Mois de la Photo à Montréal, au Festival international d’art vidéo de Casablanca et à l’Exposition universelle de Shanghai. Doublement lauréat du prix de photographie Banque Scotia, Flomen figure aux collections du Whitney Museum of American Art (New York), du Philadelphia Museum of Art, du Museum of Fine Arts de Boston, du Musée des beaux-arts du Canada et du Hanmi Photography Museum (Séoul).

© Michael Flomen, Double Trouble, 2001, printed 2014. Photo : Idra Labrie

Caroline Gagné

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

À la fois visuelle, sonore et tactile, l’installation Le bruit des icebergs de Caroline Gagné traduit et partage l’expérience sublime de s’approcher d’un iceberg à la dérive.

Artiste de Québec, Caroline Gagné est diplômée du baccalauréat en arts visuels (1998) et de la maîtrise interdisciplinaire en art (2012) de l’Université Laval. Elle a participé à la Biennale nationale de sculpture contemporaine à Trois-Rivières, au festival Temps d’images (Montréal), à la Biennale de sculpture de Saint-Jean-Port-Joli et au Mois Multi (Québec). Ses œuvres ont également été exposées à Occurence (Montréal), à la Galerie d’art Stewart Hall (Montréal), à Sporobole (Sherbrooke), à VU (Québec) et à Action Art Actuel (Saint-Jean-sur-Richelieu). En 2011, son œuvre CARGO lui a valu un prix d’excellence des arts et de la culture de la Ville de Québec.

© Caroline Gagné, The sound of icebergs, 2016. Photo : Idra Labrie

Jim Holyoak et Matt Shane

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Les univers ténébreux de ce duo érigent des écosystèmes fantasmagoriques aux frontières du réel. The Who’s Haunts immerge le spectateur dans une maison subjuguée par les forces entropiques de la nature.

Jim Holyoak termine en 2004 un baccalauréat en beaux-arts à l’Université de Victoria et en 2011 une maîtrise en dessin et peinture à l’Université Concordia (Montréal). Son travail a été présenté au centre d’art contemporain Optica (Montréal), à l’Alternator Centre for Contemporary Art (Kelowna), au Centre Clark (Montréal) et au Gemeentemuseum (La Haye). En 2017, il remporte un prix Nonesuch pour les arts papier. Ses oeuvres font partie des collections du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul et du Musée d’art contemporain de Montréal ainsi que de la collection d’art canadien nouveau Senvest.

Matt Shane est né à Vancouver, en Colombie-Britannique. Il a complété son baccalauréat en arts visuels à l’Université de Victoria (2004) et sa maîtrise à l’Université de Concordia (2013). Il est récipiendaire de nombreuses bourses et collabore avec l’artiste Jim Holyoak depuis des années. Il a réalisé des résidences de création et présenté son travail en Amérique du Nord, en Europe et en Asie. Sa collaboration récente avec Holyoak est présentée de manière permanente au Musée d’art contemporain de Montréal. Shane vit et travaille entre Montréal, les Îles Pender en Colombie-Britannique et Halifax, en Nouvelle-Écosse.

© Jim Shane Holyoak et Matt Shane, The Who’s Haunts, 2018. Photo : Idra Labrie

Krištof Kintera

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Les amoncellements sculpturaux de Krištof Kintera se présentent comme des témoignages absurdes et inquiétants des excès de production à l’ère de l’hyperconsommation et de l’obsolescence programmée.

Krištof Kintera, né en 1973, a effectué sa formation à l’Académie des beaux-arts de Prague (1999) et à l’Académie royale des beaux-arts d’Amsterdam (2004). Ses œuvres ont été présentées au Musée Tinguely (Bâle), au Kunsthal (Rotterdam), à la Galerie Rudolfinum (Prague), à la Collection Maramotti (Reggio d’Émilie), au Musée d’art contemporain de Cracovie, au Palais de Tokyo (Paris), au Musée royal des beaux-arts d’Anvers, à la cité d’artistes Béthanie (Berlin), au Musée d’art contemporain de Tokyo et au Casino Luxembourg. Kintera a été nommé trois fois pour le prix Jindřich Chalupecký. Il vit et travaille à Prague et y est représenté par la Galerie Ron Mandos Amsterdam.

© Krištof Kintera, Systemus Postnaturalis, 2016-2017. Photo : Idra Labrie

Dinh Q. Lê

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

The Colony est une installation vidéo transportant le spectateur aux Îles Chincha sur la côte sud-ouest du Pérou, lieu emblématique des tensions géopolitiques internationales que peut générer l’exploitation de ressources naturelles rares.

Dinh Q. Lê est détenteur d’un baccalauréat en art de l’Université de Californie (1989) et d’une maîtrise en photographie et médias de la School of Visual Arts of New York (1992). Son travail a été diffusé à l’Ikon Gallery (Birmingham), au Musée d’art contemporain d’Hiroshima, au Contemporary Art Centre of South Australia, au Nam June Paik Art Center (Yongin), à la Documenta (Cassel) et à la Biennale de Singapour. Ses œuvres font partie des collections du Museum of Modern Art (New York), du Musée d’Israël, du Musée des arts asiatiques de Fukuoka et du San Francisco Museum of Modern Art.

© Dinh Q. Lê, The Colony. Photo : Idra Labrie

Britta Marakatt-Labba

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Les broderies méticuleuses de Britta Marakatt-Labba renvoient aux conceptions du monde dans la tradition autochtone Sámi. Leurs déploiements horizontaux permettent d’imaginer les espaces grandioses du territoire scandinave.

Britta Marakatt-Labba est née en 1951 à Idivuoma au nord de la Suède, dans une famille de gardiens de rennes. Elle s’est formée à l’École du design et de l’artisanat de l’Université de Göteborg (1978) et à l’Université Sámi de Kautokeino et a reçu un doctorat honorifique de l’Université d’Umeå. Elle fonde le Sámi Artist Group en 1978 et la Sámi Association of Artists en 1979. Marakatt-Labba a participé à la Documenta 14 (Cassel) et exposé ses broderies à l’Arts Club of Chicago, au Witte de With Center for Contemporary Art (Rotterdam), à la Scandinavia House (New York) et au Norrbottens Museum (Luleå).

© Photo : Idra Labrie

Meryl McMaster

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Meryl McMaster se met en scène devant l’appareil photographique pour performer le territoire et ses ancrages historiques en incarnant des personnages allégoriques librement inspirés de l’imaginaire autochtone.

Meryl McMaster (née en 1988) est bachelière de l’Ontario College of Art and Design (2010). Elle a exposé au Musée des beaux-arts de Montréal, à l’IAIA Museum of Contemporary Native Arts (Santa Fe) et au Smithsonian National Museum of the American Indian (New York). Elle est lauréate du prix Nouvelle génération de photographes de la Banque Scotia, du prix Reveal de la Fondation Hnatyshyn et du prix Canon Canada. Ses œuvres ont été acquises par le Musée canadien de l’histoire (Gatineau), l’Art Gallery of Ontario, la Banque d’art du Conseil des arts du Canada et le National Museum of the American Indian. Elle vit et travaille à Ottawa.

© Œuvres de Meryl McMaster. Photo : Idra Labrie

Fanny Mesnard

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

L’univers visuel de Fanny Mesnard est peuplé de personnages hybrides évocateurs des croyances animistes et des fabulations qui habitent et conditionnent les rapports humains à la nature.

Fanny Mesnard est diplômée de l’Université Paris VIII (2002), de l’Université Aix-Marseille (2004), de l’École supérieure des beaux-arts de Marseille (2004) et a complété sa scolarité au doctorat en études et pratiques des arts de l’Université du Québec à Montréal (2014). Elle a poursuivi plusieurs formations en céramique, notamment à l’École des Métiers d’art de Québec. Son œuvre a été présentée à Art Mûr (Montréal), à la Galerie Michel Guimont (Québec), au Symposium international d’art contemporain de Baie-Saint-Paul, au Centre national d’exposition de Jonquière, à Regart (Lévis) et au Centre culturel franco-manitobain (Winnipeg). Elle vit et travaille à Québec.

© Oeuvres de Fanny Mesnard. Photo : Idra Labrie

Haroon Mirza

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Les installations technologiques d’Haroon Mirza mettent à profit les sources d’énergie naturelles telles que l’électricité et la lumière pour refléter la complexité du monde actuel en symphonies multisensorielles.

Haroon Mirza, né en 1977, est détenteur d’un baccalauréat en peinture de la Winchester School of Art (2002), d’une maîtrise en design du Goldsmiths College (2006) ainsi que d’une seconde maitrise du Chelsea College of Art and Design (2007). Son travail a fait l’objet d’expositions au Tate Britain (Londres), à l’Irish Museum of Modern Art (Dublin), au New Museum (New York) et à la Biennale d’Istanbul. Il est lauréat de distinctions telles que le Lion d’argent de la 54e Biennale de Venise, le prix du Nam June Paik Art Centre et le prix Calder. Il vit et travaille à Londres et est représenté par la Lisson Gallery.

© Haroon Mirza, Solar Symphony 10 (Transverse Waves for Wayne), 2016. Photo : Idra Labrie

Cornelia Parker

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Cornelia Parker explore les résonances poétiques de la matière en voie de désintégration. Constituée de bois récupéré, l’installation sculpturale No Man’s Land est dynamisée par sa suspension dans l’espace.

Née en Angleterre, dans le Cheshire, en 1956, Cornelia Parker détient un baccalauréat du Gloucestershire College of Art and Design (1975) et une maîtrise de l’Université de Reading (1982). Son travail a été diffusé à l’Ikon Gallery (Birmingham), au Metropolitain Museum of Art (New York) et à la Biennale de Venise. Élue à la Royal Academy of Arts (Londres), elle est nommée artiste officielle des élections générales britanniques en 2017. Ses œuvres sont conservées par le Musée national d’art moderne (Paris), la Tate Gallery (Londres), le British Museum (Londres), le Brooklyn Museum et le Museum of Modern Art (New York).

© Cornelia Parker, No Man’s Land, 2018. Photo : Idra Labrie

Reno Salvail

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Fasciné par la cartographie et l’astronomie, Reno Salvail oriente son rapport au monde en amalgamant le paysage naturel à ses mondes intérieurs. Plongez dans les profondeurs du ciel étoilé reflété dans la Rivière Cheval.

Reno Salvail, né en 1947, est détenteur d’un doctorat en arts plastiques et sciences de l’art de l’Université de Provence (2001). Il a diffusé ses œuvres au Québec, au Canada, aux États-Unis, en Écosse et en France. Parmi ses expositions individuelles, notons celles tenues à VU (Québec), à Action Art Actuel (Saint-Jean-sur-Richelieu), à L’Œil de Poisson (Québec) et au centre Bang (Chicoutimi). Salvail est également auteur de réalisations d’art public telles que La trace du lièvre au mont Blayeul dans les Alpes françaises. Son travail a fait l’objet d’une publication, Le passage de la Grande Ourse, en 2003. Il vit et travaille à L’Ange-Gardien.

© Reno Salvail

Tomás Saraceno

Musée national des beaux-arts du Québec, pavillon Pierre Lassonde

Les installations sculpturales de Tomás Saraceno remettent le spectateur en perspective en le submergeant dans une vision vertigineuse de l’univers cosmique.

Né en Argentine, à Tucumán, en 1973, Tomás Saraceno vit et travaille à Berlin. Il a fait des études à l’Université de Buenos Aires (1999), à l’Escuela Superior de Bellas Artes de la Nación Ernesto de la Carcova (2000) et à l’école d’art Staatliche Hochschule für Bildende Künste (2003). En 2009, il suit une formation à l’International Space Studies Program de la NASA et remporte le prix Calder. Il a présenté des expositions individuelles au Metropolitain Museum of Art (New York), au Mildred Lane Kemper Art Museum (Saint Louis), au Hamburger Bahnhof (Berlin) et au Baltic Centre for Contemporary Art (Gateshead).
© Photo : Idra Labrie

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